Ghetto

Découvrir le Ghetto Juif de Venise

A la découverte du Ghetto Juif de Venise

S'aventurer dans le Ghetto Juif de Venise, c'est comme entrer dans un monde qui transcende le temps.

Ce petit mais captivant quartier, chargé d'histoire et riche en patrimoine culturel, offre un aperçu d'un melting-pot captivant de différentes cultures.

En vous promenant dans ses ruelles étroites et ses rues sinueuses, un sentiment d'intrigue vous attire vers une porte ouverte, vous invitant à jeter un coup d'œil à l'intérieur.

En s'arrêtant sur le seuil, vos yeux s'émerveillent lorsqu'ils se posent sur un vieil artisan plongé dans son métier.

L'air est imprégné d'un parfum de créativité, alors qu'il moule et façonne avec amour des masques vénitiens avec des mains agiles. Chaque coup de pinceau révèle des siècles de tradition, capturant l'essence de la fête et du mystère qui est devenu synonyme de ces créations.

Dans cet espace intime, le temps semble s'être arrêté. L'artisan, avec ses connaissances transmises de génération en génération, est une incarnation vivante de la tapisserie culturelle qu'est le Ghetto Juif. Les murs témoignent des histoires de ceux qui les ont précédés, insufflant la vie à l'ancien métier de fabrication de masques.

Introduits à l'origine par les troupes de la Commedia dell'arte d’ Italie, ces masques sont rapidement devenus partie intégrante du folklore vénitien.

L'artisan et le brocanteur du Ghetto.

La photo d'interieur dans le Ghetto de Venise.

Ils étaient tellement pris par leur journaux que j'ai pu utiliser un pied Gitzo en toute souplesse. 

L'artisan-et-le-brocanteur.

Ce deux personnes s'appellent Emilio et Carlo. J'avais déjà photographié Emilio lorsque je préparais mon livre sur la construction de gondoles, car il est l'un des graveur qui font les décorations sur la partie supérieure des sièges des gondoles mêmes. Carlo est un brocanteur qui à son atelier dans le Ghetto de Venise dans un endroit que était jadis un vente d'huile d'olive. J'ai pu sortir mon pied Gitzo Traveler et utiliser un très commode temps de pose de 0,7", sans qu'il bougeaient. Diaphagme f3,4, iso 200, avec Leica M 240 et 28mm Elmarit f2,8.